Coup d’Etat en Mauritanie

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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar biko » Ven Aoû 22, 2008 6:57 pm

Mauritanie : l’ex-Premier ministre de nouveau arrêté

Il a été interpellé jeudi alors qu’il se rendait à un meeting anti-putsch

Yahya Ould Ahmed Waghf est de nouveau aux mains de la junte militaire qui a pris le pouvoir le 6 août dernier en Mauritanie. L’ancien chef du gouvernement mauritanien déchu se rendait à un meeting du Front de défense de la démocratie (FNDD), opposé au coup de force.L’ancien Premier ministre mauritanien Yahya Ould Ahmed Waghf a été arrêté jeudi par la junte militaire au pouvoir depuis le 6 août dernier. Il a été interpellé aux portes de la ville de Nouadhibou, la capitale économique où il devait assister à un meeting organisé plus tard dans la soirée par le Front de défense de la démocratie (FNDD), une alliance de cinq partis politiques opposés au coup d’Etat. Le FNDD a condamné jeudi soir dans un communiqué « l’enlèvement (…) du Premier ministre, Yayha Ould Ahmed Waghef, sa conduite vers une destination inconnue » et exigé « sa libération immédiate et inconditionnelle », rapporte Panapress.
Yahya Ould Ahmed Waghf ne reconnaît pas son sucesseur

Yahya Ould Ahmed Waghf avait été déjà arrêté lors du coup d’Etat, avec le président déchu Sidi Ould Cheikh Abdalahi, puis libéré cinq jours après. Le nouveau pouvoir mauritanien n’a donné jusqu’ici aucune raison pour justifier cette arrestation. Mais la semaine dernière, l’ancien chef du gouvernement mauritanien avait indiqué qu’il n’y aurait pas de passation de pouvoir entre lui et Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, son sucesseur désigné par la junte militaire.

Cette interpellation intervient après la marche initiée mercredi par le FNDD. Selon l’alliance, cette manifestation « à laquelle ont participé plusieurs dizaines de milliers de personnes, (est la) preuve que le peuple mauritanien est du côté de la légalité et que les putschistes sont isolés à la fois au niveau national et international ». Ces derniers s’apprêtent néanmoins à traduire en justice leurs prédécesseurs

Les députés mauritaniens sont appelés dans les prochains jours, durant la session extraordinaire ouverte mercredi, à désigner les membres de la Haute cour de justice (HCJ). Elle jugera dans les dispositions prévues par la Constitution le président de la République et le gouvernement renversés. Boycotté par les 32 députés du FNDD, cette session parlementaire ne devrait pas être perturbée outre mesure. Plus d’une quarantaine de partis soutiennent les nouveaux maîtres de Nouackchott.
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar niouma » Sam Aoû 23, 2008 2:36 am

c'est vraiment dommage pour le,peuple mauritanien.
si le président était aussi mauvais qu'ils le disent pkoi ne
pas attendre les élections et le virer dehors ?
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar Rama Yade » Sam Aoû 23, 2008 3:37 pm

niouma a écrit:c'est vraiment dommage pour le,peuple mauritanien.
si le président était aussi mauvais qu'ils le disent pkoi ne
pas attendre les élections et le virer dehors ?

bof comme si tu ne connais pas l'africain :bas:
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar Feinda Samassa » Mer Sep 10, 2008 9:11 am

Mauritanie-web : Divergences entre les élus soutenant le putsch et ceux du RFD
Date : 08/09/2008 à 17:59:53

Des divergences sont apparues entre les élus soutenant le putsch survenu en Mauritanie et ceux du RFD à l'occasion de la "session" extraordinaire du Parlement consacrée à l'examen de la situation politique du pays, a annoncé, lundi, le Rassemblement des forces démocratiques (RFD), premier parti de l'opposition parlementaire.

Dans un communiqué publié à Nouakchott, le RFD indique que ces divergences portent notamment sur le calendrier de la transition et l'absence de garantie quant à la non-participation des membres des forces armées et de sécurité à de nouvelles élections dans le pays, soulignant toutefois qu'un effort de rapprochement des points de vue était en cours entre les différents groupes parlementaires favorables au changement du 6 août 2008.

S'agissant de la mise en place des commissions d'enquête parlementaires contre l'ancien président, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, et son entourage, le RFD note qu'il n'est concerné que par la commission d'enquête parlementaire relative au programme spécial d'intervention, soupçonné avoir été détourné.

Le nouveau Premier ministre, Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, nommé le 14 août 2008, avait annoncé il y a quelques jours une éventuelle révision constitutionnelle pour équilibrer le jeu des rapports entre les institutions de la présidence et du Parlement, à l'origine de la crise politique en Mauritanie.
http://www.mauritanie-web.com/actualite-5243-5243.html
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar fatou » Mer Déc 17, 2008 4:04 pm

Le jeu du quitte ou double

Il y a de fortes chances que la fin de l’année 2008 porte bonheur à l’ancien président mauritanien renversé au mois d’août dernier. La junte au pouvoir, avec à sa tête le général putschiste Ould Abdel Aziz, s’est engagée à le libérer, sans conditions, et cela au plus tard à la date du 24 décembre. Mais il convient de s’interroger sur les causes réelles ou supposées qui commandent cette remise en liberté d’un chef d’Etat renversé.

Car c’est un événement plutôt rare en Afrique, il faut en convenir. Plusieurs hypothèses permettent de tenter une explication. La pression internationale sur la junte qui a renversé Sidi Ould Cheikh Abdallahi, et cela dès le lendemain du coup d’Etat du 6 août, y est certainement pour quelque chose.

Pas un instant, elle n’aura relâché son étreinte. Cette dernière se sera révélée d’autant plus étouffante qu’elle provenait d’organisations comme l’Union européenne, qui firent usage de menaces et d’arguments de divers ordres dans le but "d’ obtenir un retour à la légalité constitutionnelle" ainsi que la restitution du pouvoir au président déchu. Des sanctions diplomatiques et économiques furent brandies contre la Mauritanie et on ne se trompe pas de beaucoup en disant que les putschistes ne pouvaient plus s’accommoder de tant d’adversité à l’échelle internationale. Ils décidèrent alors de céder. Mais cette remise en liberté du vaincu par son vainqueur traduit aussi la bonne foi ainsi que le respect de la parole donnée, de la part d’un général, même putschiste.

Le fait est rarissime en Afrique, de voir un chef d’Etat libérer celui qu’il a renversé et cela au bout de ... quatre mois. Le continent, en la matière, est plutôt coutumier d’autres pratiques : des présidents sont tués au cours ou à l’issue de coups d’Etat, les plus chanceux parmi ceux qui en réchappent se retrouvent embastillés dans des geôles sombres, de longues années durant. Pour le cas de la Mauritanie, promesse est faite de libérer le président déchu, et c’est cela qui compte. Mais que deviendra le pays suite à une telle mesure d’élargissement ? La junte au pouvoir court, en effet de gros risques en prenant une telle initiative. L’ignore-t-elle ou calcule-t-elle son geste en prenant bien en compte ce paramètre ? Doit-on comprendre le terme "sans conditions" au sens d’absence totale de préalables ? Le président déchu Abdallahi sait pouvoir compter sur des partisans fidèles qui ont su se montrer ses inconditionnels au plus fort de sa disgrâce.

Lui-même, du temps où il était emprisonné, se montrait imperturbable dans sa conviction : "Je ne désespère pas de retrouver le pouvoir", affirmait-il. Plus que jamais à présent, il se peut qu’il veuille réaliser pleinement cette ambition, d’autant plus qu’il se sait soutenu, à l’intérieur par des amis politiques et des partisans qui voient arriver leur heure de gloire, et à l’extérieur par une communauté internationale qui lui aura été d’un soutien sans faille. Et si d’aventure, il se mettait en devoir de reconquérir ce pouvoir perdu, qu’en serait-il de la Mauritanie ? Et quelle attitude attendre de la part de la junte au pouvoir ? Ne risque-t-on pas de voir à l’intérieur d’un même pays, deux chefs d’Etat convoitant un même siège présidentiel ? Quelle position alors serait celle de la communauté internationale ?

Mais il se peut aussi que cette libération soit le fruit d’un lprocessus longuement mûri et qui résulte d’un gentleman’s agreement passé entre la junte et le président prisonnier : on te rend ta liberté et tu te tiens bien tranquille. Mais même dans un tel cas de figure, il reste à savoir si Abdallahi tiendra parole. Il a pour lui, ses partisans, la communauté internationale, et sans doute, quelque secret désir de revanche qui peut le pousser à ne pas tenir parole. La communauté internationale peut se réjouir d’avoir gagné une bataille : celle de la remise en liberté du président déchu. Reste à savoir si elle gagnera la guerre, celle du retour du président déchu aux affaires. On attend de voir donc si elle ira jusqu’à réclamer la stricte application de ses exigences premières, à savoir le rétablissement dans ses fonctions de Sidi Ould Cheikh Abdallahi. La complexité de la situation crée en tout cas un dangereux précédent.

Car il y a fort à craindre ici que le remède se révèle pire que le mal. La communauté internationale, dans cette affaire mauritanienne, aura joué à fond la carte du principe de la légalité qu’il fallait rétablir, aidée en cela par son aversion légendaire du coup d’Etat ou plutôt de certains coups d’Etat. Mais elle aurait considéré la popularité des putschistes qu’elle aurait peut-être exigé moins et aurait sans doute usé de plus d’indulgence à leur égard. Elle aurait alors peut-être tenu un peu plus compte, dans ses décisions, des désirs du peuple mauritanien. En tout état de cause, elle se devra, à présent, d’être aux côtés de la Mauritanie qui présente la double face d’un pays où tout désormais, peut arriver, avec la libération annoncée de Abdallahi : le meilleur comme le pire.
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar Rama Yade » Jeu Déc 18, 2008 9:38 pm

Mauritanie - Un coup d'Etat qui passe mal

Il n'avait jamais imaginé qu'il resterait aussi longtemps le mouton noir de la communauté internationale. Depuis le putsch du 6 août à Nouakchott, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de la junte mauritanienne, ne parvient pas à faire oublier son péché originel : il a renversé un président élu.
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar Dado » Dim Déc 21, 2008 5:04 pm

la junte militaire putchiste libère le président démocratiquement élu mais refuse de le rétablir dans ses fonctions, une autre exigence de l'OUA, de l'UE, des Etats-Unis et d'autres grands pays bailleurs de fonds de ce pays de trois millions d'habitants.
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar Modou Mbacke » Mar Déc 23, 2008 2:37 am

les africains c est vraiment pas la peine.
ils n'ont memes pas honte de faire encore
des coup d'états au 21eme siècle.
et on s'étonne encore qu'on reste à la ramasse.
ces dirigeants tous des pétasses :twisted: :twisted: :twisted:
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar doudou » Mar Déc 23, 2008 10:29 am

Je crois que le peuple mauritanien dans son ensemble doit s'opposer à ses putchistes et garder le cap de la démocratie. La mauritanie avait vraiment bien négocier le cap démocratique. C'est vraiment lamentable d'en revenir à des années en arrière. Si comme le disent les militaires, le Président est un incompétent, ben les mauritaniens allaient le virer aux prochaines élections présidentielles.
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Re: Coup d’Etat en Mauritanie

Messagepar Nouha Cissé » Mer Déc 31, 2008 12:00 pm

Les coups d'Etat en Afrique depuis quinze ans



Un capitaine de l'armée guinéenne a annoncé mardi 23 décembre une dissolution des institutions, quelques heures seulement après la mort du président Lansana Conté. Il s'agit du dernier en date d'une longue série de coups d'Etat militaires sur le continent africain. Voici un rappel des principaux putschs depuis quinze ans :

- 22 juil 1994 - GAMBIE : Le président Dawda Jawara, au pouvoir depuis 1965, renversé par des militaires dirigés par Yahya Jammeh.

- 15 août 1995 - SAO TOME ET PRINCIPE : Miguel Trovoada renversé par des militaires. Il reprend le pouvoir une semaine après, à la suite d'une loi d'amnistie.

- 28 sept 1995 - COMORES : Des mercenaires dirigés par Bob Denard renversent le régime de Saïd Mohamed Djohar. Une intervention militaire française met fin au coup d'Etat.

- 16 jan 1996 - SIERRA LEONE : Valentine Strasser "démis" par la junte qu'il dirigeait depuis quatre ans.

- 27 jan 1996 - NIGER : Une junte militaire présidée par le colonel Ibrahim Baré Maïnassara destitue le président Mahamane Ousmane.

- 25 juil 1996 - BURUNDI : Un coup d'Etat porte au pouvoir Pierre Buyoya après la destitution de Sylvestre Ntibantunganya.

- 17 mai 1997 - ZAIRE : Laurent-Désiré Kabila, à la tête d'une rébellion depuis huit mois, s'autoproclame chef de l'Etat. Le Zaïre, dirigé depuis près de 32 ans par Mobutu Sese Seko, devient la République démocratique du Congo. Le 16 janvier 2001, Kabila est assassiné par un de ses gardes du corps. Son fils, Joseph Kabila, lui succède.

- 25 mai 1997 - SIERRA LEONE : Le président Ahmad Tejan Kabbah renversé par une junte dirigée par Johnny Paul Koroma. Rétabli dans ses fonctions en 1998 après une intervention d'une force ouest-africaine.

- 15 oct 1997 - CONGO-BRAZZAVILLE : Denis Sassou Nguesso (1979-1992) reprend le pouvoir après la victoire de ses milices sur celles de Pascal Lissouba.

- 9 avr 1999 - NIGER : Ibrahim Baré Maïnassara tué par des éléments de la garde présidentielle, dirigée par Daouda Mallam Wanké.

- 30 avr 1999 - COMORES : L'armée dirigée par le colonel Azali Assoumani prend le pouvoir.

- 7 mai 1999 - GUINEE-BISSAU: Joao Bernardo Vieira renversé par une junte en rébellion depuis 1998 dirigée par le général Ansumane Mané.

- 24 déc 1999 - COTE D'IVOIRE : Une mutinerie de soldats se transforme en coup d'Etat, le premier du pays. Le général Robert Gueï annonce la destitution du président Henri Konan Bédié et la mise en place d'une junte.

- 15 mars 2003 - CENTRAFRIQUE : Ange-Félix Patassé, au pouvoir depuis 1993, renversé par le général François Bozizé, entré en rébellion fin 2001.

- 16 juil 2003 - SAO TOME ET PRINCIPE : Bref coup d'Etat dirigé par le major Fernando Pereira en l'absence du président Fradique de Menezes. Grâce à une médiation internationale, celui-ci reprend ses fonctions le 23.

- 14 sept 2003 - GUINEE-BISSAU : Kumba Yala renversé par une junte dirigée par le général Verissimo Correia Seabra, abattu un an plus tard lors d'une attaque contre le QG de l'armée.

- 6 août 2008 - MAURITANIE : Sidi Ould Cheikh Abdallahi, premier président démocratiquement élu, est renversé 15 mois plus tard par le général Mohamed Ould Abdel Aziz.
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