Forums Soninkara: Forums de discussions Soninké

[biko]

Financement des radios communautaires : La diaspora Soninké s'investit pour Jida Fm

Les émigrés du département de Bakel ont organisé, avant-hier, une soirée pour participer au financement de la radio communautaire Jida Fm. Couvrant un rayon de 80 à 100 km, la radio, crée en 2000, est écoutée à Kayes (Mali) et à Sélibaby en Mauritanie, ce qui lui confère un caractère sous-régional.

Son objectif est de créer une harmonie entre les populations des trois pays voisins. Les localités couvertes par Jida Fm ont la langue soninké en commun. Pour permettre à la radio communautaire de bien jouer son rôle, le collectif des ressortissants de Bakel compte organiser chaque année ce genre de manifestation lucrative.

Ce qui permettra à la radio de récolter entre 3 500 et 4 000 euros (environ 2 millions francs Cfa lors) de ces soirées qui sont d'ailleurs animées par des artistes du terroir établis à l'étranger. ‘Nous faisons appel aux artistes locaux, car la radio fait également leur promotion.

Ce sont des artistes sénégalais, mauritaniens et maliens. Il n’y a pas de différence entre nous puisque nous sommes, pour la plupart, des Soninkés. On ne paie pas les artistes. Ils sont ici en France, dès que la soirée est programmée, ils viennent jouer pour soutenir la radio’.

Moustapha BARRY
(Correspondant permanent à Paris)

[fatou]

Financement des radios communautaires : La diaspora Soninké s'investit pour Jida Fm

Les émigrés du département de Bakel ont organisé, avant-hier, une soirée pour participer au financement de la radio communautaire Jida Fm. Couvrant un rayon de 80 à 100 km, la radio, crée en 2000, est écoutée à Kayes (Mali) et à Sélibaby en Mauritanie, ce qui lui confère un caractère sous-régional.

Son objectif est de créer une harmonie entre les populations des trois pays voisins. Les localités couvertes par Jida Fm ont la langue soninké en commun. Pour permettre à la radio communautaire de bien jouer son rôle, le collectif des ressortissants de Bakel compte organiser chaque année ce genre de manifestation lucrative.

Ce qui permettra à la radio de récolter entre 3 500 et 4 000 euros (environ 2 millions francs Cfa lors) de ces soirées qui sont d'ailleurs animées par des artistes du terroir établis à l'étranger. ‘Nous faisons appel aux artistes locaux, car la radio fait également leur promotion.

Ce sont des artistes sénégalais, mauritaniens et maliens. Il n’y a pas de différence entre nous puisque nous sommes, pour la plupart, des Soninkés. On ne paie pas les artistes. Ils sont ici en France, dès que la soirée est programmée, ils viennent jouer pour soutenir la radio’.

Moustapha BARRY
(Correspondant permanent à Paris)

Ce sont de tres bonnes initiatives. il faut que les fonds récoltés aillent au développement de la radio et non dans les poches de certains. il y a eu des précédents. Une radio c'est comme une entreprise, elle ne peut être viable que s'il y a une bonne direction, une trésorerie et une comptabilité transparente et rigoureuse.

[Salimata]

Financement des radios communautaires : La diaspora Soninké s'investit pour Jida Fm

Les émigrés du département de Bakel ont organisé, avant-hier, une soirée pour participer au financement de la radio communautaire Jida Fm. Couvrant un rayon de 80 à 100 km, la radio, crée en 2000, est écoutée à Kayes (Mali) et à Sélibaby en Mauritanie, ce qui lui confère un caractère sous-régional.

Son objectif est de créer une harmonie entre les populations des trois pays voisins. Les localités couvertes par Jida Fm ont la langue soninké en commun. Pour permettre à la radio communautaire de bien jouer son rôle, le collectif des ressortissants de Bakel compte organiser chaque année ce genre de manifestation lucrative.

Ce qui permettra à la radio de récolter entre 3 500 et 4 000 euros (environ 2 millions francs Cfa lors) de ces soirées qui sont d'ailleurs animées par des artistes du terroir établis à l'étranger. ‘Nous faisons appel aux artistes locaux, car la radio fait également leur promotion.

Ce sont des artistes sénégalais, mauritaniens et maliens. Il n’y a pas de différence entre nous puisque nous sommes, pour la plupart, des Soninkés. On ne paie pas les artistes. Ils sont ici en France, dès que la soirée est programmée, ils viennent jouer pour soutenir la radio’.

Moustapha BARRY
(Correspondant permanent à Paris)

Ce sont de tres bonnes initiatives. il faut que les fonds récoltés aillent au développement de la radio et non dans les poches de certains. il y a eu des précédents. Une radio c'est comme une entreprise, elle ne peut être viable que s'il y a une bonne direction, une trésorerie et une comptabilité transparente et rigoureuse.

dieu t'entende

[dioudoudiéri]

Paraît qu'il s'y passe des choses sur cette radio, des choses pas très euh disons ou plutôt très...HOT

[coutora]

Paraît qu'il s'y passe des choses sur cette radio, des choses pas très euh disons ou plutôt très...HOT

dioudou moi j'ai lu ça aussi :

http://www.diaguily.org/viewtopic.php?topic=136&forum=2

j'ai fait un saut au village et je suis de reour au bercail cette fin mars. Dieu merci le sejour fut bien passé. le controle des projets de diaguily melika est fait. a part la petite rehabilitation du dispensaire rien n'est fait. et je vous rassure qu' a chaque fois on parle d ediaguily melika les gens nous hurlent et disent : hey ces gens là sont des bavards, ils ne font rien c'est des bluffeurs.
la visite du deputé- maire de montreuil en decembre a au moins marqué les esprits. car les gens croient en lui. donc si vous voulez etre ecoutés debarquez l'eté prochain pour faire au moins une realistaion en attendant que d'autres suivront.
s'agissant des mariages forcés tjsrs des cas existent car les parents sont emportés par l'argent.
parlant de la sexulaite on ne peut compter les filles en ceinte. je ne compreds pas quel est l'impact de nos intellectuels sur le village.
il faut noter aussi que la station media djida fm a crée un grand desordre au village, dans la zone en enceitant les femmes mariées ce qui est trop grave.
surtout le directeur et les faux correspodants. Bref je viendrai tres prochaiement pour ecrire un grand article sur mon sejour de plus de 5 mois au village
reveillez vous mrs. le developpemet n'est pas facile

Apparemment c'est la fète à Diaguily

malheureusement c'est comme ça dans les villages africains : il suffit que des petits gens ont un petit darja (une petite notoriété) et après ils abusent.

[La Négritude]

Cette radio na pas joué le rôle qui était le sien, les objectifs ont été travestis.
Avec ces radios communautaires, on pouvait faire beaucoup pour les populations, sans chercher à en faire du n'importe quoi avec.

Mais bon, chez les soninkés, c'est très difficile de leur faire comprendre tout ceci.

Douce, nuit !

[Djinn]

Manque de démocratie dans nos villages et nos associations. les mêmes têtes qu'on voit depuis 20 ans. normal que les choses aillent de travers. un exemple regardez l'APS et ses dirigeants. partout dans nos associations c'est pareil. il y a toujours un bureau qui restera en place 10, 15 ou 20 ans. parler de changement à la tete est apparenté à une attaque en règle d'où le favoritisme, les abus de biens, le népotisme et tout le tralala

[demba soumaré]

TU NOUS LE COMMUNAUTE SOONINKE ,on ne voix jamais trop loin, on pense aujourd'huit solement , on sans fous de demain, ce pour cela on arriveras jamais

[hadamarémé]

Salam sans rentrer dans les commérages, je pense que la radio et ceux qui la gèrent prennent beaucoup de maturité, vous savez la tentation est forte Allah ganto diarabi, maintenant la radio joue pleinement son rôle de sensibisation et d'information. Nous avons tous eux à péché en secret ou en publique alors prions tous ensemble qu'Allah nous couvre du voile de Sa miséricorde. Laissons les procès d'intentions cela ne nous méne à rien.
wasalam

[Sokhnassi]

beaucoup de choses foirent en afrique parce que l'intéret public est occulté par les intérets partisans. je parle pas de cette radio, je la connais pas. mais en général en afrique bcp de projets foirent par manque de democratie et les têtes restent les mêmes 5 ans, 10 ou 15 ans. ça finit toujours par créer des problemes.